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Les jets privés en France : une interdiction sans sens

La France, réputée pour son mode de vie luxueux et son patrimoine ethnique, a récemment proposé d’interdire les jets privés, une conclusion aussi erronée que myope. Malgré les préoccupations croissantes concernant le changement climatique et l’impact environnemental des voyages dans l’atmosphère, l’interdiction des jets privés en France est une mesure arbitraire et inefficace. Dans cet essai, nous examinerons les raisons pour lesquelles l’interdiction des jets privés en France est une approche imprudente et irrationnelle pour répondre aux préoccupations environnementales.

La proposition d’interdire les jets privés en France fait preuve d’une concentration étroite qui ne tient pas compte de la situation dans son ensemble. Si l’objectif est toujours de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de lutter contre le changement climatique, il est en fait irrationnel de s’en prendre uniquement aux jets privés. L’aviation professionnelle, qui comprend les gros porteurs, les avions-cargos et d’autres modes de transport, génère bien plus d’émissions que les jets privés. En se concentrant de manière disproportionnée sur les propriétaires de jets privés, l’interdiction ne s’attaque pas aux principaux responsables de la pollution de l’air.

La mise en œuvre d’une interdiction des jets privés sans analyse complète de leurs effets sur l’environnement présente un point de vue unilatéral. Les jets privés ne représentent qu’une petite partie des visiteurs aériens et sont soumis à des réglementations strictes en matière d’émissions et de bruit. En outre, les progrès technologiques dans le domaine de l’aviation continuent de rendre les jets privés plus économes en carburant, ce qui, au bout d’un certain temps, Infos Jet Privé réduit leur impact sur l’environnement. Ignorer ces facteurs nuit à la notion de détermination fondée sur des preuves et conduit à une réponse politique improductive.

L’interdiction des jets individuels aura de graves répercussions financières et aura un impact négatif sur le secteur de l’aviation, le tourisme et l’économie en général de la France. Les jets exclusifs jouent un rôle essentiel en soutenant les entreprises, en attirant des investissements inconnus et en favorisant la croissance monétaire. En privant le pays de ces aspects positifs, la France risque de perdre son avantage concurrentiel et de décourager les visiteurs étrangers, mettant ainsi en péril les emplois et les moyens de subsistance de ses citoyens.

Plutôt qu’une interdiction pure et simple, il serait plus raisonnable de se concentrer sur l’utilisation de solutions efficaces qui encouragent les pratiques d’aviation durables. Il pourrait s’agir d’encourager l’utilisation de carburants plus propres, d’investir dans l’analyse et le développement d’innovations technologiques respectueuses de l’environnement dans le domaine de l’aviation, et de promouvoir des programmes de compensation des émissions de carbone. Ces types d’initiatives favoriseraient la créativité et le développement de l’industrie aéronautique en abordant les questions environnementales de manière plus approfondie et plus complète.

Le réchauffement climatique est un défi international qui nécessite des efforts de collaboration à l’échelle mondiale. Interdire les jets privés en France ne suffit pas à comprendre le fait que les voyages d’oxygène dépassent largement les frontières nationales. Pour avoir un impact réel, il est très important de s’engager dans des discussions à l’échelle mondiale et d’encourager la coopération internationale. La coopération entre les pays et le respect de normes environnementales uniformes auront des effets bien plus significatifs que des interdictions séparées visant un secteur spécifique du transport aérien.

La proposition d’interdiction des jets individuels en France peut constituer une approche malavisée et irréfléchie pour répondre aux préoccupations environnementales. Plutôt que de cibler les jets privés, les décideurs politiques devraient poursuivre des stratégies naturelles qui englobent tous les secteurs de l’aviation. En encourageant les progrès techniques, en faisant la promotion des options d’essence durable et en collaborant dans le monde entier, nous pouvons obtenir des améliorations significatives dans l’atténuation de l’impact des voyages aériens sur l’environnement. C’est grâce à des mesures globales et équilibrées que nous pourrons trouver un équilibre harmonieux entre la protection de l’environnement et l’expansion économique.

Le Privilège du Ciel : Mon Témoignage en Avion de Chasse Militaire

Pour beaucoup, l’idée de s’élever dans le ciel à bord d’un avion de chasse des services militaires reste un désir lointain, un monde réservé aux pilotes hautement qualifiés et aux casse-cou audacieux. Pourtant, pour une personne chanceuse, ce rêve s’est transformé en réalité. Par un extraordinaire retournement de situation, je me suis retrouvé personnellement attaché au cockpit d’un avion de chasse des services militaires à la pointe de la technologie, embarqué pour un voyage qui s’inscrira à jamais dans les profondeurs de ma mémoire.

Tout a commencé par un appel téléphonique inattendu, une invitation déconcertante qui m’a fait douter de son authenticité. Un ami de longue date, aviateur militaire de son état, avait réussi à me procurer une occasion exceptionnelle de découvrir l’exaltation du vol d’un point de vue tout à fait différent. La perspective était à la fois fascinante et difficile, car l’inconnu m’attendait dans le cockpit d’un appareil rugissant et performant.

À mesure que le jour de mon vol approchait, un mélange d’enthousiasme et d’appréhension envahissait mes pensées. Pour me préparer à cet incroyable voyage, j’ai suivi un entraînement intensif et des périodes de familiarisation, L-39 Albatros en Corse afin de m’assurer que je connaissais bien les protocoles et les mesures de sécurité nécessaires à une telle rencontre. Équipé d’une combinaison de vol, d’une protection pour la tête et d’une partie du système neural, je suis entré sur la base aérienne, prêt à m’adapter à l’inconnu.

En me dirigeant vers l’avion de chasse, mes facultés sensorielles ont tout de suite été submergées par son énorme présence. La taille et l’énergie de l’appareil étaient stupéfiantes, et je ne pouvais m’empêcher de ressentir une certaine inquiétude. Alors que je montais à bord, l’ensemble sophistiqué de gestions et de dispositifs me rappelait brutalement l’immense responsabilité confiée aux personnes qui ont initié ces merveilles de conception.

Attaché à la chaise éjectable, je n’ai pu m’empêcher de réfléchir au courage et aux compétences des pilotes qui commandent quotidiennement ces incroyables modèles. L’existence rassurante de mon copain, un initial expérimenté, a contribué à apaiser mes inquiétudes, car il était prêt à m’emmener dans un merveilleux voyage à travers les cieux.

Dans un grondement de tonnerre, les moteurs du jet se sont allumés, nous propulsant vers l’avant à une vitesse inimaginable. La force totale m’a fait reculer sur mon siège, et la planète à l’extérieur est devenue floue tandis que nous nous élançons sur la piste d’atterrissage. En l’espace d’un instant, nous avons décollé, laissant la planète Terre derrière nous et nous élevant dans les cieux sans limites.

Une fois dans les airs, j’ai rapidement découvert que l’arène d’un avion de chasse mma était un univers totalement différent. La sensation de vitesse était palpable, lorsque nous avons manœuvré sans effort dans le ciel avec une agilité inégalée. À chaque virage, boucle et tonneau, mon cœur s’emballait et l’adrénaline circulait dans mes vaisseaux sanguins. La pression exercée par le vent sur mon corps me donnait une idée de ce que vivent fréquemment ces remarquables pilotes d’avion.

Au fur et à mesure que nous prenions de l’altitude, le monde entier se transformait en une mosaïque à couper le souffle. La vue à vol d’oiseau m’a permis de profiter de la beauté et de la grandeur de la Terre de bien des façons que je n’avais jamais imaginées auparavant. Que ce soit en survolant d’imposantes montagnes ou en planant au-dessus de paisibles paysages côtiers, chaque minute était un spectacle enchanteur qui me laissait dans un état d’émerveillement.

Alors que nous descendions vers la base aérienne, mon esprit était inondé d’un mélange d’émotions. L’expérience avait dépassé toutes les attentes et laissé une trace indélébile dans mon âme. Le privilège d’avoir voyagé à bord d’un avion de combat des services militaires m’a apporté un nouveau respect pour les personnes qui consacrent leur vie à protéger nos cieux et à défendre nos libertés.

Voler à bord d’un avion de chasse militaire a été un privilège extraordinaire, donnant un aperçu d’un monde que peu de gens peuvent voir. Les souvenirs de ce vol resteront à jamais vivaces, dans le rôle d’une mémoire constante des exploits exceptionnels accomplis par nos militaires ainsi que de l’impact profond qu’ils ont sur la sécurité de notre groupe. Ce fut une leçon d’humilité que d’être le témoin direct de l’exactitude et de la précision, de la compétence et du dévouement requis pour faire fonctionner ces magnifiques machines.

Au-delà des sensations fortes et des poussées d’adrénaline, le vol m’a laissé un profond sentiment de gratitude envers les hommes et les femmes courageux qui servent dans nos forces armées. Ils mettent volontairement leur vie en jeu, repoussant les limites des capacités humaines pour assurer notre sécurité et protéger notre mode de vie. Leur responsabilité inébranlable et leur altruisme inspirent le respect et l’admiration.

L’expérience a également mis en lumière la technologie avancée et les améliorations de pointe qui caractérisent l’aviation militaire. L’avion de combat mma que j’ai eu le privilège de piloter était une merveille d’ingénierie, un témoignage de l’ingéniosité humaine et de la recherche incessante de l’excellence. De son avionique avancée à son armement redoutable, chaque facette de l’avion représentait l’aboutissement d’années de recherche, de développement et de travail méticuleux.

Plus qu’une simple balade, ce voyage a remis en question mes idées préconçues sur ce que signifie voler. Il m’a permis d’apprécier à sa juste valeur ceux qui pilotent ces machines avec compétence, précision, professionnalisme et fiabilité. Grâce à leur encadrement, à leur discipline et à l’importance qu’ils accordent à ces appareils, ces puissants jets ne sont pas seulement des armes redoutables, mais aussi des outils de protection et de dissuasion.

En partageant ce témoignage, j’espère donner un aperçu du monde de l’aviation militaire, qui est généralement entouré de mystère et de secret. C’est un monde où des gens ordinaires ont l’occasion extraordinaire d’être témoins de l’extraordinaire et d’acquérir une nouvelle estime pour ceux qui défendent nos cieux.

En fin de compte, mon voyage en tant que passager d’un avion de combat militaire n’a pas seulement été une aventure agréable, mais une rencontre importante qui m’a permis de mieux comprendre les sacrifices consentis par nos militaires. Il a renforcé l’importance de commémorer leurs efforts et de les promouvoir par tous les moyens possibles.

L’armement de l’Ukraine

Il est bon de voir que l’escalade de l’OTAN en Ukraine et le risque croissant de guerre nucléaire retiennent l’attention. Comme l’indique l’auteur, « le risque d’utilisation d’armes capables d’anéantir la vie sur Terre augmente ».

Cela étant dit, l’article suivant de Common Dreams comporte un certain nombre d’erreurs (« annexé illégalement », « frappe sur un immeuble d’habitation ukrainien la semaine dernière ») et s’appuie sur la ruse familière des médias occidentaux selon laquelle « la Russie menace d’utiliser des armes nucléaires ».

Voici ce que le président de la Douma d’État, Viatcheslav Volodine, a déclaré dimanche sur Telegram (traduction automatique) :

La livraison d’armes offensives au régime de Kiev conduira à une catastrophe mondiale.

Si Washington et les pays de l’OTAN fournissent des armes qui seront utilisées pour frapper des villes civiles et tenter de s’emparer de nos territoires, comme ils le menacent, cela conduira à des mesures de représailles utilisant des armes plus puissantes.

Les membres du Congrès, les députés du Bundestag, de l’Assemblée nationale française et des autres parlements européens doivent prendre conscience de leur responsabilité envers l’humanité.

Par leurs décisions, Washington et Bruxelles conduisent le monde à une guerre terrible : à une action militaire complètement différente de celle d’aujourd’hui, où les frappes visent exclusivement les infrastructures militaires et critiques utilisées par le régime de Kiev.

Compte tenu de la supériorité technologique des armes russes, les responsables politiques étrangers qui prennent de telles décisions doivent comprendre qu’elles pourraient déboucher sur une tragédie mondiale qui détruirait leurs pays.

Les arguments selon lesquels les puissances nucléaires n’ont jamais utilisé d’armes de destruction massive dans des conflits locaux ne tiennent pas. En effet, ces États n’étaient pas confrontés à une situation où la sécurité de leurs citoyens et l’intégrité territoriale du pays étaient menacées.

Par le rédacteur Kenny Stancil. Publié à l’origine sur Common Dreams.

Si l’Occident continue à livrer des armes à l’Ukraine, Moscou ripostera avec des « armes plus puissantes », a déclaré dimanche un haut responsable du gouvernement russe et proche allié du président Vladimir Poutine, faisant référence à l’utilisation de missiles nucléaires.

« Les livraisons d’armes offensives au régime de Kiev conduiront à une catastrophe mondiale », a déclaré Vyacheslav Volodin, président de la Douma d’État, la chambre basse de la Russie, dans une déclaration partagée sur l’application de messagerie Telegram.

« Si Washington et les pays de l’OTAN fournissent des armes qui seront utilisées pour frapper des villes civiles et tenter de s’emparer de nos territoires, comme ils le menacent, cela conduira à des mesures de représailles utilisant des armes plus puissantes », a déclaré M. Volodine.

L’Ukraine, avec le soutien de ses alliés occidentaux, cherche à récupérer les territoires illégalement annexés par le Kremlin au cours des derniers mois, et non à s’emparer de terres russes, comme l’affirme M. Volodine.

La menace de M. Volodine « survient au milieu des discussions sur la question de savoir si l’Allemagne enverra des chars de combat Leopard 2 à l’Ukraine pour lutter contre l’invasion russe », a rapporté Politico. « Kiev a demandé les chars de fabrication allemande, dont elle dit avoir besoin pour renouveler sa contre-offensive contre les forces de Moscou.

Ce n’est pas la première fois que des responsables russes menacent d’utiliser des armes nucléaires depuis que Poutine a attaqué l’Ukraine en février dernier. Jeudi, un jour avant que l’OTAN et d’autres chefs militaires ne se réunissent en Allemagne pour discuter des moyens de vaincre la Russie en Ukraine, l’ancien président russe Dmitri Medvedev, aujourd’hui vice-président du conseil de sécurité du pays, a déclaré qu’une défaite de Moscou pourrait conduire à une guerre nucléaire.

« Berlin a jusqu’à présent résisté à l’appel de l’Ukraine et de ses alliés d’envoyer les chars sans que les États-Unis ne fassent le premier pas, par crainte d’une escalade du conflit », a noté Politico dimanche. « Berlin n’a pas non plus approuvé les livraisons de chars de ses alliés, car l’Allemagne a le dernier mot sur toute réexportation des véhicules des pays qui les ont achetés.

Le média a précédemment rapporté que le paquet militaire de 2,5 milliards de dollars annoncé jeudi par la Maison Blanche exclut les chars M1 Abrams de 60 tonnes de l’armée en raison de problèmes de maintenance et de logistique, et non parce que leur envoi intensifierait la guerre.

L’OTAN a envoyé pour plus de 40 milliards de dollars d’armes à l’Ukraine depuis le début de l’invasion russe. Le gouvernement américain, qui dirige de facto l’alliance militaire, a autorisé l’envoi de plus de 26,7 milliards de dollars.

Dimanche, M. Volodine a exhorté les législateurs américains et européens à « prendre conscience de leur responsabilité envers l’humanité ».

« Par leurs décisions, Washington et Bruxelles conduisent le monde à une guerre terrible : à une action militaire complètement différente de celle d’aujourd’hui, où les frappes sont menées exclusivement sur les infrastructures militaires et critiques utilisées par le régime de Kiev », a déclaré M. Volodine.

Contrairement à ce qu’affirme M. Volodine, la Russie n’a pas limité son assaut aux infrastructures militaires. Selon un haut fonctionnaire de Kiev, plus de 9 000 civils ukrainiens ont été tués depuis l’invasion russe il y a 11 mois. Les Nations unies ont confirmé la mort de plus de 7 000 civils en Ukraine, mais affirment que le chiffre réel est bien plus élevé.

La semaine dernière, une frappe sur un immeuble d’habitation ukrainien, l’attaque la plus meurtrière de la Russie contre des civils depuis des mois, a tué des dizaines de personnes. Par ailleurs, les combats près de la centrale nucléaire de Zaporizhzhia ont fait craindre à plusieurs reprises une fusion désastreuse.

« Étant donné la supériorité technologique des armes russes, poursuit M. Volodin, les hommes politiques étrangers qui prennent de telles décisions doivent comprendre qu’elles pourraient déboucher sur une tragédie mondiale qui détruirait leurs pays.

« Les arguments selon lesquels les puissances nucléaires n’ont jamais utilisé d’armes de destruction massive dans des conflits locaux ne sont pas valables », a-t-il ajouté. « En effet, ces États n’ont pas été confrontés à une situation où la sécurité de leurs citoyens et l’intégrité territoriale du pays étaient menacées.

M. Volodine se faisait l’écho de points récemment soulevés par d’autres responsables russes. Interrogé jeudi sur le fait de savoir si les remarques de Medvedev ce jour-là reflétaient une tentative d’escalade de la guerre, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré : « Non, cela ne signifie absolument pas qu’il y a eu une escalade de la guerre : « Non, cela ne veut absolument pas dire cela.

M. Peskov a affirmé que les commentaires de M. Medvedev étaient conformes à la doctrine nucléaire russe, qui autorise une frappe nucléaire après « une agression contre la Fédération de Russie avec des armes conventionnelles lorsque l’existence même de l’État est menacée ».

Comme l’a noté Reuters, M. Poutine a présenté la soi-disant « opération militaire spéciale » de la Russie en Ukraine comme « une bataille existentielle contre un Occident agressif et arrogant, et a déclaré que la Russie utiliserait tous les moyens disponibles pour se protéger et protéger son peuple ».

En janvier dernier, un mois avant le début de la plus grande guerre en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale, la Russie, les États-Unis, la Chine, la France et le Royaume-Uni – qui détiennent ensemble plus de 12 000 armes nucléaires – ont publié une déclaration commune affirmant que « la guerre nucléaire ne peut être gagnée et ne doit jamais être menée » et réaffirmant qu’ils prévoyaient d’adhérer aux accords et aux promesses de non-prolifération, de désarmement et de contrôle des armes.

Néanmoins, les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU continuent d’accroître ou de moderniser leurs arsenaux nucléaires. Pour la première fois depuis les années 1980, le stock nucléaire mondial, dont 90 % est contrôlé par Moscou et Washington, devrait augmenter dans les années à venir, et le risque d’utilisation d’armes capables d’anéantir la vie sur Terre s’accroît.

Début octobre, le président américain Joe Biden a averti que la guerre de la Russie contre l’Ukraine avait rapproché le monde de l' »Armageddon » comme jamais depuis la crise des missiles de Cuba. Moins de trois semaines plus tard, cependant, son administration a publié une révision de la posture nucléaire qui, selon les défenseurs de la non-prolifération, augmente la probabilité d’une catastrophe, en partie parce qu’elle laisse intacte l’option d’une première frappe nucléaire. Les États-Unis restent le seul pays à avoir utilisé des armes nucléaires en temps de guerre, en détruisant les villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki à l’aide de bombes atomiques en août 1945.

Les experts ont depuis longtemps tiré la sonnette d’alarme au sujet de la guerre en Ukraine, affirmant qu’elle pourrait dégénérer en un conflit direct entre la Russie et l’OTAN, toutes deux dotées d’armes nucléaires. Malgré ces avertissements, la coalition militaire occidentale a continué à donner la priorité aux livraisons d’armes plutôt qu’à la diplomatie.

Le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, a admis en avril dernier que les États-Unis voulaient « voir la Russie affaiblie », ce qui implique que Washington est prêt à prolonger le conflit meurtrier tant qu’il contribue à déstabiliser Moscou.

Les partisans de la paix, en revanche, ont appelé à plusieurs reprises les États-Unis à contribuer à une résolution diplomatique rapide de la guerre en Ukraine avant qu’elle ne dégénère en un cataclysme nucléaire mondial.

Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a récemment déclaré aux participants du Forum économique mondial de Davos : « Il y aura une fin… il y a une fin à tout, mais je ne vois pas la fin de la guerre dans un avenir immédiat. Je ne vois aucune chance, à l’heure actuelle, d’avoir une négociation de paix sérieuse entre les deux parties ».

 

Un voyage en monuments

Les monuments peuvent symboliser des événements ou des personnages importants de l’histoire d’une nation, ce qui peut contribuer à susciter un sentiment de satisfaction nationale et d’unité parmi les résidents. Ce sentiment de traditions communes peut rassembler les gens et leur rappeler la quête entreprise pour créer la nation dans laquelle ils vivent. En visitant des monuments ou des parcs monumentaux, les citoyens sont en mesure de regarder des signes perceptibles de leur passé, ce qui les aide à réfléchir au chemin parcouru par leur nation. Les monuments servent également à rendre hommage à ceux qui ont apporté une contribution substantielle à l’histoire d’un pays, en honorant leurs réalisations et en inspirant les générations à venir à viser la grandeur. Les monuments sont donc des icônes essentielles qui aident à rapprocher les citoyens les uns des autres et à créer des liens solides de fierté et d’unité nationales. En regardant les monuments, les habitants se souviennent de l’importance de leur culture et de leur histoire, ce qui peut contribuer à cimenter un sentiment de solidarité entre eux. Cela contribuera à créer un pays de citoyens qui sont très heureux de l’appeler leur maison. Par conséquent, les monuments sont des éléments importants pour encourager le patriotisme et la camaraderie entre les individus d’une nation. Grâce aux monuments, les résidents peuvent se rassembler et former une communauté unifiée avec des principes et des coutumes partagés. Par conséquent, les monuments jouent un rôle important en contribuant à produire une identité et une unité nationales fortes.

Les monuments peuvent également fonctionner comme un symbole de la culture et des valeurs de la nation, ce qui peut être une source de fierté et d’unité pour les habitants de ce pays. Ces monuments peuvent signifier la culture, les croyances et les coutumes distinctives d’un pays, rappelant aux résidents les principes qui font la grandeur de leur pays. De cette façon, les monuments sont une source d’inspiration pour les résidents qui veulent respecter ces principes et s’efforcer d’atteindre la grandeur. Les monuments rappellent aux habitants qu’ils ont un rôle vital à jouer dans la préservation des traditions de la nation et dans la protection de ses valeurs. De cette manière, les monuments peuvent contribuer à susciter un fort sentiment de satisfaction nationale et d’unité parmi les citoyens, ce qui peut être incroyablement bon pour le progrès général d’un pays.

En conclusion, les monuments sont des icônes efficaces qui ont le potentiel d’inspirer le patriotisme, de produire de la solidarité et d’unir les gens par des principes et des coutumes partagés. Comme les monuments ont tendance à s’installer durablement dans le paysage d’une nation, Cancun ils continueront à jouer un rôle important dans la promotion de l’unité et de la satisfaction nationales pendant de nombreuses années. Les monuments peuvent être des ressources extrêmement bénéfiques pour aider les habitants à se rassembler, à réfléchir à leur origine commune et à créer un puissant sentiment d’identification nationale qui les unit tous. Par conséquent, les monuments jouent un rôle important dans la création et la préservation de la fierté, de l’unité et de l’identité nationales. Comme les monuments continuent d’être vénérés par les citoyens de toutes les couches de la société, leur potentiel d’unification des nations restera puissant pour les décennies à venir.

Visiter des monuments peut être un moyen pour les gens d’interagir avec leur identification nationale et de ressentir un sentiment d’appartenance à leur pays. Les monuments ont un rôle unique dans la société, en offrant un lien avec le passé et une motivation pour les générations à venir. Comme les monuments représentent des moments essentiels de l’histoire et motivent le patriotisme, ils peuvent également être utilisés pour favoriser l’unité et l’appartenance nationales. En visitant les monuments, les résidents se souviennent de leur lien avec les autres, ainsi que de leur lien avec le passé, les principes et la tradition de la nation. Par conséquent, les monuments contribueront à produire un sentiment de lien, d’identité et d’appartenance parmi les résidents de tous horizons. La visite des monuments donne donc l’occasion aux individus de se réunir, de partager leurs histoires et leurs expériences, et de ressentir un sentiment de lien avec leur identité nationale. Les monuments sont des symboles efficaces qui aident continuellement à rappeler aux citoyens le lien qu’ils entretiennent les uns avec les autres, et peuvent être une source de fierté et un lien avec l’histoire de la nation. En tant que tels, les monuments peuvent être des ressources extrêmement puissantes pour favoriser la connexion, l’identification et l’appartenance des citoyens de toutes origines.

La conscience de Sidwick

J’ai voyagé assez récemment pour le travail, pour étudier certains concepts de la vision, ce qui était très intéressant. Sans aucun doute avec cette escapade, je l’ai fait du monde de Sidwick. Toute la carrière d’Henry Sidgwick a été inscrite à la Cambridge School. Juste après avoir obtenu son diplôme en classiques intemporels et en mathématiques, il est engagé en 1859 dans un tuteur assistant en classiques, mais tout au long des années 1860, ses passions se convertissent de plus en plus à l’approche, un sujet qu’il commence à enseigner en 1867. En 1883, il est désigné pour la Knightbridge Professorship of Moral Approach, une soumission qu’il a gardée jusqu’à son décès. Il avait également été l’un des fondateurs de la Society for Psychical Analysis, ainsi que son tout premier dirigeant. Le statut de Sidgwick a été créé par sa fonction initialement importante, The Ways of Values, considérée par de nombreux classiques de l’approche morale. Même si elles sont généralement considérées comme défendant l’utilitarisme, le concept moral sophistiqué par Jeremy Benham et John Stuart Mill ainsi que pour lequel Sidgwick était principalement engagé, les techniques incluent un objectif beaucoup plus large, qui serait de définir les «  méthodes d’éthique ‘implicite dans le raisonnement éthique de tous les jours et aussi pour prendre en compte s’il est possible de découvrir une base réaliste et fondée sur des principes pour décider comment je dois travailler. Pour Sidgwick, une «méthode d’éthique» est «toute méthode réaliste par laquelle nous évaluons quels êtres humains« devraient »- ou ce qu’il est« juste »en leur nom – faire, ou même tenter de réaliser par une action volontaire». Alors que les individus, lorsqu’ils choisissent ce qu’ils doivent faire, adhèrent à divers principes et souvent à un mélange de concepts, les «méthodes» peuvent se résumer en trois techniques simples: l’égoïsme, l’utilitarisme et l’intuitionnisme. L’égoïsme, ou hédonisme égoïste, fonde la moralité d’un mouvement sur le volume de joie qu’il génère chez la personne qui exécute les mesures: «  le courtier rationnel respecte la quantité de satisfaction conséquente et la douleur envers lui-même comme étant en soi importante pour choisir entre des alternatives de mouvement; et veut généralement le meilleur surplus de plaisir que la douleur puisse obtenir ». Sidgwick était vraiment un fervent partisan de la scolarisation des filles, fondant le 1er collège ou université pour l’éducation et l’apprentissage des femmes à Cambridge concernant sa meilleure moitié, Eleanor Balfour. L’utilitarisme, ou hédonisme universaliste, pense à une activité grande en fonction de son influence sur la joie globale de: «le spectacle qui… est objectivement correct, est le fait qui produira la meilleure quantité de joie sur l’ensemble… en prenant en considération tous ceux dont le bonheur est affligé de la conduite ». Il reste, néanmoins, la question de l’égoïsme, la doctrine honnête qui commence la rectitude du comportement dans le plaisir individuel. De cette façon aussi a tendance à révéler l’explication et le bon sens, mais ne doit pas être concilié avec l’utilitarisme. L’utilitarisme oblige un individu à renoncer à sa joie personnelle, voire à sa propre vie personnelle, au cas où la quantité totale de contentement universel serait ainsi améliorée – plutôt que seulement la leur, mais aussi celle de sa famille et de ses amis. Cependant, si c’est exactement ce dont l’utilitarisme a besoin, un bon jugement et ce que l’on a appelé les «connaissances traditionnelles de l’humanité» disent normalement: «Il y a vraiment quelques individus … qui … ressentent généralement votre plaisir et les douleurs de la race humaine, un degré de sympathie par tous les moyens proportionné à leur problème pour le conjoint ou les enfants, les passionnés ou les amis personnels ».

le Covid et le monde

Les facteurs clés dans la modélisation d’une pandémie et l’orientation de l’élaboration des politiques comprennent les taux d’infection ; taux de mortalité associés aux infections; la capacité et l’efficacité des politiques, des systèmes médicaux et des sociétés à s’adapter à la dynamique changeante d’une pandémie ; et d’autres facteurs structurels ( Verity et al. 2020 ). Comprendre ces facteurs est nécessaire pour remobiliser les travailleurs sans risquer une surcharge médicale ( Baldwin 2020 ). Dans Jinjarak et al. (2020), nous faisons le point sur les données recueillies au cours des trois premiers mois de la pandémie de COVID-19, retraçant les associations entre la mortalité liée à la COVID-19 et les interventions politiques en cas de pandémie tout en tenant compte des schémas mondiaux de diffusion de la pandémie. Les interventions politiques en cas de pandémie dans notre examen font référence aux politiques de confinement et de fermeture qui visent à limiter les contacts sociaux. Notre spécification empirique tient compte de ces considérations, sous réserve des données limitées disponibles sur les facteurs clés. Plus précisément, la rareté des tests COVID-19 et les informations limitées sur la précision des tests disponibles impliquent une vaste sous-estimation des taux d’infection par habitant, peut-être d’un facteur à deux chiffres.
Le sous-dénombrement des taux de mortalité de la population COVID-19 est également répandu, mais d’un ordre de grandeur inférieur aux erreurs associées aux taux d’infection.
Par conséquent, nous nous concentrons principalement sur la comptabilisation des taux de mortalité de la population COVID-19 par habitant pendant la première phase de la pandémie, en contrôlant les facteurs politiques et structurels sous réserve de la disponibilité et de la qualité des données. Nous prévoyons de réexaminer ces problèmes avec des données de meilleure qualité et à plus long terme au cours des prochains trimestres.
Une bonne partie des pays ont atteint un pic local de la courbe des nouveaux taux de mortalité quotidiens de la population COVID-19 au cours de la période d’échantillonnage (voir la figure 1). En appliquant diverses techniques, nous étudions les facteurs expliquant la forme empirique de la courbe de mortalité depuis le début de la pandémie jusqu’au pic local, en mettant l’accent sur l’impact de l’intensité des politiques en interaction avec les variables structurelles. Comme la plupart des études similaires, les résultats doivent être considérés avec un scepticisme sain. Premièrement, la qualité et la disponibilité des données sont une limitation majeure, car chaque pays a ses propres défis en matière de collecte, d’agrégation et de notification des données. Deuxièmement, une « meilleure performance » dans la première phase d’atténuation d’une pandémie ne garantit pas une performance future supérieure, car la dynamique d’une nouvelle pandémie virale est encore inconnue. De par sa conception, l’aplatissement de la courbe pandémique fait avancer une partie de l’incidence de la mortalité.
Note : Moyenne mobile sur sept jours du nouveau taux de mortalité par pays. Axe Y normalisé pour que tous les pays correspondent à la même échelle. Période : 23 janvier – 28 avril 2020. Pays du cas particulier omis des graphiques ci-dessus : Chine, Singapour et Vietnam.
Notre étude s’appuie sur la politique COVID-19 quotidienne et les données de cas rapportées par l’Université d’Oxford et John Hopkins, ainsi que sur les données de mobilité d’Apple et divers contrôles. Notre étude d’estimation de base examine les sous-échantillons de l’OCDE et des marchés émergents (ME) sur la base des données du 23 janvier 2020 au 28 avril 2020, soit les 97 premiers jours de la pandémie.
Premièrement, nous étudions l’évolution des taux de croissance hebdomadaire de la mortalité dans le temps et entre les pays. En appliquant des projections locales (Jorda 2005), les données du panel suggèrent que l’administration de politiques pandémiques plus strictes était associée à des taux de croissance de la mortalité futurs significativement plus faibles au cours de la première phase pandémique.
En prenant les fondamentaux des pays à évolution lente de la période pré-COVID-19 comme exogènes, nous constatons que les pays du 75e centile de la proportion de personnes âgées (personnes de 65 ans ou plus) ont enregistré une réduction beaucoup plus forte des taux de croissance de la mortalité à partir des mêmes dix augmentation unitaire de l’indice de rigueur des politiques, SI, par rapport aux pays où la proportion de personnes âgées est relativement faible (25e centile).
Dans les pays plus éloignés de l’équateur, les mesures SI ont eu un impact plus fort sur la croissance de la mortalité que les pays plus proches de l’équateur. Cette hétérogénéité peut être cohérente avec ce que certains décrivent comme un facteur de risque lié à la température associé à de nombreux virus de la grippe (voir la figure 2). Les pays avec des proportions plus élevées de personnes âgées ou des températures plus fraîches au cours de la période janvier-avril peuvent être plus à risque en ce qui concerne le COVID-19, ce qui augmente l’efficacité des mesures de rigueur pour ces pays. Une plus grande rigueur politique est également plus fortement associée à une croissance plus faible de la mortalité au cours de la première phase de la pandémie dans les pays à plus forte densité de population ; une plus grande proportion d’employés dans des professions vulnérables; et une plus grande liberté démocratique (mesurée avec l’indice de démocratie de l’EIU), mais l’importance économique n’est pas aussi évidente. Alors que la densité de population et les employés occupant des emplois vulnérables sont des facteurs de risque intuitifs pour une pandémie comme la COVID-19, le rôle de la liberté démocratique est un sujet de débat permanent. Nos résultats sont cohérents avec l’opinion selon laquelle des droits individuels accrus peuvent être préjudiciables dans cette situation, ce qui rend plus difficile pour le gouvernement de mettre en place des quarantaines strictes et de les faire respecter par les citoyens.
Remarque : Les carrés rouges (cercles bleus) représentent l’impact de la projection locale d’un indice de rigueur supérieur de dix unités sur la croissance de la mortalité pour les pays du 75e centile (25e centile) de la caractéristique du pays.
Ensuite, nous passons aux résultats de la régression internationale. Les variables dépendantes comprennent le taux de mortalité maximal enregistré (calculé comme le nombre cumulé de décès parmi la population au pic de la nouvelle mortalité quotidienne, par pays) ; le taux de nouvelle mortalité maximal enregistré (calculé comme le nombre de nouveaux décès parmi la population au plus haut de la nouvelle mortalité quotidienne, par pays) ; et le rapport entre le « nouveau taux de mortalité maximal » et la « durée de la pandémie par rapport au premier pic » mesuré en jours (un aplatissement/pente approximatif de la courbe du taux de mortalité) (voir la figure 3). Les pays où la mortalité précoce est plus élevée (mortalité cumulée au cours de la première semaine suivant le premier décès) ont tendance à avoir de nouveaux pics de mortalité plus élevés, mais des courbes de mortalité plus plates lors de la première phase pandémique. En outre, les pays ayant des interventions politiques plus agressives en place avant le premier décès (Early SI) ont tendance à afficher une mortalité cumulée et nouvelle plus faible au pic, et des courbes de mortalité plus plates.
Les pays ayant une plus grande population de personnes âgées ont tendance à avoir des taux de mortalité de pointe plus élevés. Nous trouvons également des preuves suggérant que les pays ayant des taux de croissance de la mortalité plus élevés lors de l’épidémie avaient également des taux de mortalité de pointe plus élevés. Dans l’ensemble, les preuves suggèrent (mais n’affirment pas nécessairement) que la rigueur des politiques a directement réduit les taux de mortalité maximaux et aplati la courbe de mortalité, et que d’autres forces étaient également en jeu (par exemple, la démographie, les conditions initiales de la pandémie).
Non seulement les taux de mortalité au cours de la première phase pandémique diffèrent d’un pays à l’autre, mais il existe également des variations considérables dans la durée pendant laquelle les nouveaux décès ont continué d’augmenter (mesurés en jours). Nous appelons cela la «durée de la pandémie jusqu’au premier pic» (PD). Il convient d’être prudent lors de l’interprétation des effets des covariables sur la PD en termes de modification de la forme des courbes de mortalité, car une PD plus longue pourrait s’accompagner d’un taux de mortalité maximal plus élevé et donc d’une courbe plus raide, ou d’un taux de mortalité maximal plus faible et donc une courbe plus plate. L’ajustement d’une courbe de Kaplan-Meier pour la PD sur tous les pays de l’échantillon, par nombre de jours, suggère que les pays avec des interventions politiques plus strictes au début (Early SI > 19) avaient des PD significativement plus faibles sur le chemin du premier pic local de la courbe de mortalité quotidienne ; atteint le pic, avec une probabilité de 75 %, en environ 40 jours par rapport aux pays sans de telles interventions (Early SI < 19) ; et a mis dix jours de plus pour atteindre la même probabilité maximale (voir la figure 4).
Remarque : l’axe Y indique la probabilité que le pic de mortalité/cas soit « encore à venir ». L’axe y supérieur implique une probabilité plus faible de pic. L’axe des abscisses reflète le nombre de jours depuis la première mortalité constatée. Les zones ombrées représentent les intervalles de confiance à 95 %.
Pour mieux comprendre la variation entre les pays de la PD sous un modèle à risques proportionnels de Cox, nous rapportons que dans la plupart des spécifications (mais pas toutes), des interventions politiques plus strictes au début sont associées à des durées plus courtes de la PD. Des taux de mortalité plus élevés au début sont associés à des durées de pandémie plus courtes jusqu’au pic, tandis que les pays réalisant des pics de mortalité plus élevés ont tendance à avoir des durées de pandémie plus longues jusqu’au pic. De plus, les pays avec une plus grande population de personnes âgées, une densité de population plus élevée et une plus grande part d’emplois vulnérables ont tendance à présenter des durées de pandémie plus courtes jusqu’au pic. De plus, sous certaines spécifications, le niveau de liberté démocratique apparaît comme un déterminant hautement significatif de la durée de la pandémie jusqu’au pic. En tant que tels, les pays considérés comme plus « démocratiquement libres » ont connu des durées de pandémie plus longues jusqu’au pic. Les pays plus éloignés de l’équateur ont également tendance à connaître une PD plus longue. Bien qu’à ce stade, nous signalions des associations statistiques suggestives, davantage de données et de recherches sont nécessaires pour fournir des identifications plus complètes de tous ces facteurs.
Nous concluons en avertissant que nos résultats sont soumis à des limites de données, y compris le sous-dénombrement des infections au COVID-19 et de la mortalité. « De meilleures ou de moins bonnes performances » d’un pays dans la première phase de la pandémie ne garantissent pas des résultats futurs similaires. L’aplatissement des courbes de mortalité et d’infection peut faire avancer la mortalité et l’ajustement douloureux. L’ouverture prématurée de l’économie sans tests appropriés, recherche des contacts et mises en quarantaine sélectives des segments vulnérables ou touchés de la population peut induire une accélération future de la pandémie (Acemoglu et al. 2020). Davantage de recherche médicale et d’avancées vers de meilleurs traitements et d’éventuelles vaccinations, la qualité des politiques publiques locales et mondiales et les capacités d’ajustement des pays détermineront la dynamique future de la pandémie ( Lipsitch et al. 2020 ).

Les libertariens des temps modernes

Ne mâchons pas nos mots. Le monde va certainement dans la mauvaise direction, et le véhicule qu’il emprunte ressemble étrangement à un panier à main. En fait, survivalisme je ne crois pas que vous puissiez éviter le grand accident dans un avenir proche. Je ne suis pas ici pour vous avertir de faire le bon facteur pour que la chute n’arrive pas. Il est vraiment trop tard pour les années à venir. Nous avons été correctement dans le futur pour transformer notre pays en une sorte de Tyrannie Fasciste. Nous avons maintenant le gouvernement fédéral secret, la violation de nos droits, l’abrogation de notre vie privée, la dévaluation de notre monnaie, le détournement de nos idéaux vers une idéologie coercitive. Nous avons commencé à avoir l’action de notre propre armée, une pseudo-militaire sous la forme du DHS, ainsi que des para-militaires sous la forme de Dark Water, sur le sol des Etats-Unis. De nombreux projets sont en cours d’élaboration pour piller votre épargne retraite, vous obliger à acheter des articles sanctionnés et vous interdire d’acheter des produits non sanctionnés. Ils voudraient taxer lourdement les riches et transférer l’argent vers les personnes sans ambition. Ils aimeraient savoir où vous avez déjà été, à qui vous avez parlé, ce à quoi vous pensez. Ils veulent prendre le contrôle de vos actions, de vos idées et de votre mode de vie. Le dispositif va bientôt s’effondrer. Souhaitons qu’il s’agisse d’une chute totale suffisante pour que les contrôleurs secrets n’aient pas les moyens d’exercer le contrôle sur exactement ce qu’ils souhaitent. Nous n’avons pas besoin d’un petit nombre d’hommes qui contrôlent nos vies en utilisant les outils qui existent actuellement. Un tel empire de l’eau potable pourrait ne jamais prendre fin. Les libertaires réalisent qu’une tyrannie est constituée de personnes médiocres. Ce n’est pas la malice des individus qui doit nous inquiéter ; c’est la malice que l’organisme appelé gouvernement fédéral entretient à l’égard de tous ceux qui lui refuseraient le pouvoir sans limite. De même qu’une équipe d’individus adopte un comportement inhabituel pour certains d’entre eux, lorsqu’elle devient une foule, un gouvernement fédéral peut agir avec une intention diabolique, même si les intentions de chacun des individus qui le composent peuvent être bien intentionnées. Tous les gouvernements finiront par

tenter d’acquérir autant de pouvoir que possible, et la seule façon de s’y opposer est de créer différentes parties de l’organisme contre les autres. C’est exactement ce que les Pères fondateurs ont cherché à accomplir, seulement il faut aussi avoir des individus à l’intérieur du cadre qui sont clairs comme de l’eau de roche sur ces principes, et qui ne cherchent pas l’énergie pour eux-mêmes. Au fur et à mesure qu’un gouvernement fédéral grandit en puissance, son désir de nourriture pour le pouvoir se développe également, et les individus et les organisations au sein de l’organisme chercheront le pouvoir en utilisant leurs propres plans. Rapidement, la population vit dans un monde qui regorge de mille conspirations, petites et grandes, parfois en désaccord les unes avec les autres, et parfois s’imbriquant parfaitement comme si elles étaient coordonnées. De cette manière, ce qui ressemble à une conspiration extrême du gouvernement fédéral clé se développe, sans qu’aucune conspiration ne soit nécessaire. Nous sommes allés loin dans cette voie. Il vaut mieux que tout s’écroule complètement, nous laissant nous débrouiller seuls. Si nous sommes les équivalents de nos lointains ancêtres, nous trouverons les moyens de survivre et aussi de prospérer au sein du monde article-américain dans lequel nous allons nous découvrir. Au sein de cette nouvelle planète, nous devons être un survivaliste pour survivre les deux premières semaines, et un libertaire pour vivre et se créer un nouveau style de vie après ces deux premières semaines. Évidemment, dans les premiers jours suivant le crash, nous aurons besoin de nourriture et d’eau, de ressources et d’armes, d’une protection défendable et peut-être d’une sorte de monnaie alternative comme l’or ou l’argent, ou de biens de troc. Dans les semaines qui suivront le crash, les capacités, les compétences et les données seront les véritables biens pour lesquels nous serons très appréciés. Savoir comment faire pousser une récolte, utiliser les débris qui nous entourent pour créer des objets utiles, où trouver des plantes délicieuses, comment utiliser des principes technologiques raisonnables pour la construction, l’arrosage ou tout autre projet aura une valeur presque illimitée. Être la personne qui possède les connaissances essentielles et une personnalité fiable peut faire de vous la personne que vos connaissances apprécieront par-dessus tout.

Oman: une place stratégique

Les habitants de la section d’Oman ont longtemps prospéré grâce aux affaires des mers indiennes. Au 18e siècle, le sultanat naissant de Mascate a signé le tout premier d’une série de traités de compagnie avec la Grande-Bretagne. Au fil du temps, la dépendance d’Oman à l’égard des conseillers politiques et militaires britanniques s’est accrue, bien que le sultanat ne soit jamais devenu une colonie britannique. En 1970, QABOOS bin Said Al-Mentioned a renversé son papa, et a depuis statué en tant que sultan. Le sultan QABOOS n’a pas d’enfants et n’a pas choisi publiquement de successeur; la législation fondamentale de 1996 décrit le traitement de succession d’Oman. Le programme de modernisation considérable du sultan QABOOS a ouvert la nation au reste du monde, et le sultan a privilégié les relations idéales avec la Grande-Bretagne et les États-Unis. La politique d’outre-mer moyenne et indépendante d’Oman a cherché à maintenir de bonnes associations avec ses voisins et à éviter les enchevêtrements extérieurs. Influencés par les soulèvements bien-aimés qui ont balayé le centre de l’Afrique du Nord et de l’Est à partir de janvier 2011, certains Omanais ont organisé des manifestations, contactant pour de nouvelles carrières et des avantages monétaires ainsi qu’une fin à la corruption. En réaction aux exigences des manifestants, QABOOS s’est engagé en 2011 à mettre en œuvre des réformes monétaires et gouvernementales, comme donner plus d’énergie au corps législatif bicaméral d’Oman et autoriser des élections primaires pour sa résidence réduite, ce qui s’est produit en décembre 2011. En outre, le Sultan a amélioré les avantages du chômage, et , en août 2012, a publié une noble directive exigeant l’exécution rapide de tout plan de développement du travail à l’échelle nationale pour un grand nombre de carrières omanaises ouvertes au secteur public et exclusif. Oman a organisé avec succès ses premières élections au conseil municipal en décembre 2012, dans le cadre des efforts du gouvernement pour décentraliser l’autorité et permettre une plus grande participation des citoyens à la gouvernance locale. Annoncés par le sultan en 2011, les conseils de ville et de comté ont le pouvoir de recommander la salle d’audience Noble The sur les exigences des zones communautaires dans les 11 gouvernorats d’Oman. Oman est sérieusement influencé par les ressources de gaz et de pétrole, qui pourraient produire entre 68% et 85% des recettes publiques, en fonction des variations des tarifs des produits de base. On estime que le déficit budgétaire est tombé à 12% du PIB en 2017, alors qu’Oman a réduit les subventions publiques, même si en 2016, les bas prix mondiaux du pétrole ont fait passer le déficit budgétaire d’Oman à 13,8 milliards de dollars, soit environ 20% du PIB. Oman dispose de suffisamment d’actifs étrangers pour soutenir les taux de change fixes de sa monnaie, en janvier 2018. Il émet en fait une dette personnelle pour protéger sa dette.

Le parachute

Engin aérien, le parachute est utilisé pour décélérer aérodynamiquement la vitesse d’un mobile, qui peut être due à la gravité ou à la propulsion. La décélération est reçue en fournissant au vent général de votre atmosphère relatif au cellulaire une surface de travail supérieure à celle relative à ce dernier. Ainsi, un homme en chute libre à une vitesse régulière d’environ 50 m par seconde reconnaît sa vitesse réduite à 6 m par seconde après l’ouverture d’un parachute de 60 mètres carrés de voilure.

Le parachute est couramment utilisé dans différents domaines : récupération d’équipes et éventuellement de leur aéronef ; récupération de personnel et de produits au retour d’un lieu ; récupération de travailleurs (troupes de choc, sauveteurs) et de matériels ou de sauvetage ; entraînement à un sport aérien (parachutisme sportif) ; assistance à l’avion (freinage, tourbillonnement, obtention d’une attaque). Le parachute est vraiment un tissu difficile à apprendre simplement parce que, créé à partir d’un type de substance flexible, il ne se prête pas à la sortie de modèles raisonnables de tunnel aérodynamique. Les principales améliorations qui ont été apportées au fil des ans l’ont été en réponse à certaines exigences ou en raison d’une recherche intense et très coûteuse liée à divers conflits mondiaux ou à des applications locales.

Dès 1495, Léonard de Vinci explique et dessine un parachute (qui sera analysé en 2008 par un parachutiste suisse) ; en 1616, Veranzio évoque la résistance de l’air dans la voilure. En 1783, Louis Sébastien Lenormand propose l’expression parachute, et c’est ainsi que le 27 octobre 1797, André-Jacques Garnerin effectue la première véritable descente, depuis un ballon (environ mille mètres de descente). De ce premier rebondissement jusqu’en 1908, le parachute s’est développé grâce aux découvertes des pilotes d’avions cascadeurs : Baldwin, Spencer et Paulus. L’arrivée de la ligne aérienne accélère les rapports pour votre reconnaissance de tout matériel réputé, et avant août 1914, de Stevens, Broadwick, Pinot, Robert ont changé le produit primitif, qui peut avoir un usage des services militaires. Tout au long de la première guerre mondiale, de nouvelles améliorations sont apportées par Juchmés et aussi par Heinecke. Entre vos deux batailles, Smith, Irvin font progresser la machine puis, lors du Second Conflit Planétaire Kostelesky, Heinrich puis Lemoigne, Rogallo, Jalbert… excellent le parachute.

L’élément essentiel du parachute sera la voilure, elle peut être réalisée en construisant les fuseaux (bandes pré-réduites qui se trouvent être cousues en fonction d’une structure donnée). La conception de la voile et la façon dont elle est placée par rapport à l’autre personne déterminent la géométrie de la voile et ses performances globales particulières. Les formes de base sont nombreuses : hémisphérique (Garnerin, 1797), carrée (Froidure, 1922), lisse (Irvin, 1923), triangulaire (Smith, 1924), parabolique (Russell, 1926), conique (1944), triconique (1967), cruciforme, annulaire, multicupole, etc. En utilisant ces formes fondamentales, les parachutes d’athlétisme contemporains sont acquis en signant pour des conteneurs à portions rectangulaires, formant une aile dont les attributs aérodynamiques rappellent, de manière beaucoup plus ancienne, l’aile de votre avion (Jalbert, 1964).

L’aile peut être « forte » ou comporter des ouvertures dont la « cheminée » (Lalande, 1797), qui est un moyen de stabilisation, le port (Derry, 1942), qui permet la stabilisation et la rotation, ou des tuyères (Lemoigne, 1961), qui facilitent la rotation et l’avancement horizontal. La combinaison de ces possibilités est souvent employée. A l’origine, les voilures étaient fabriquées en soie et en 100 % coton. Puis, le nylon, moins coûteux, est recommandé en raison de ses qualités d’opposition et d’élasticité. Pour les voiles modernes, le nylon est remplacé par le polyamide, qui présente des caractéristiques mécaniques supérieures. Certaines voiles de charge en usage sont fabriquées à partir de composants de substitution : coton pur, rayonne, type plastique, jute, papiers, etc. Sur le périmètre extérieur de la voile, et dans certains cas sur son fond, saut en parachute Paris des lignes sont cousues. Elles servent de lien entre la housse et l’utilisateur. Dès que le parachute est ouvert, plusieurs d’entre elles, reliées à des poignées, permettent de manœuvrer la housse (déplacement latéral, rotation, freinage). Le système d’accessoires sur le mobile peut être différent, depuis la pince en forme de ballon de football pour les parachutes de freinage d’avion jusqu’aux harnais sophistiqués utilisés par les employés.

Construction industrielle: plus de technologie

Les technologies de la construction devancent les prévisions en matière d’entretien des équipements. La plupart des gens éviteraient qu’une maladie ne devienne grave en se rendant chez un médecin alors qu’ils présentent des symptômes minimes, permis de construire d’un batiment industriel afin d’obtenir un pronostic professionnel et de vérifier que leur physique se rétablit. Alors pourquoi la plupart des solutions actuelles de télématique et de surveillance de la maintenance négligent-elles de surveiller la situation avant qu’elle ne devienne grave ?

Les systèmes d’alerte mis en place par les fabricants au moment de la fabrication n’informent les consommateurs qu’une fois qu’un problème s’est produit et que des réparations sont immédiatement nécessaires. Il s’agit là d’une façon désastreuse d’aborder la question de l’entretien. En réponse, les gestionnaires de flotte tentent d’éviter ce type de temps d’arrêt non planifié en adoptant des plans d’entretien basés sur le temps. Bien que cela présente certains avantages pour les gestionnaires de flotte très occupés, il y a une différence entre la possibilité de prévoir à l’avance les temps d’arrêt nécessaires et le fait de devoir programmer des temps d’arrêt de routine pour un entretien potentiellement inutile.

Si le temps est un facteur clé, les conditions sont tout aussi importantes, sinon plus. Informez-vous sur les dernières technologies de « moteur intelligent ».

Les objectifs de la gestion de flotte comprennent la coordination de tous les équipements d’une entreprise, la réduction des frais d’exploitation et l’entretien approprié et fréquent de chaque pièce d’équipement, ainsi que la grande quantité de documents complets indispensables au bon fonctionnement des entreprises de construction. De nombreux responsables se tournent vers l’assistance numérique pour s’acquitter de ces responsabilités rigoureuses, et il existe de nombreuses solutions (notamment de la part des équipementiers). L’un des outils les plus susceptibles d’être utilisés par les gestionnaires est un logiciel de gestion de l’entretien qui les aide à entretenir les équipements tout en réduisant les coûts liés aux temps d’arrêt ou aux accidents.

Avec une variété de variations entre chaque solution, il existe un certain type de surveillance de la maintenance qui n’est pas encore devenu la norme dans l’industrie malgré ses capacités efficaces et effectives : les solutions de surveillance de la maintenance basées sur l’état (GMAO). Le marché de la construction se réchauffe, avec des technologies révolutionnaires qui poussent les entreprises à un niveau supérieur. Le contrôle de la maintenance devrait pousser à être prédictif comme une avenue de plus pour rester compétitif.

Même si les technologies ne cessent de se développer pour offrir aux propriétaires de meilleures alertes ou leur fournir des véhicules autonomes, l’étape suivante de l’évolution des outils lourds consiste à prévoir les problèmes avant qu’ils ne surviennent – une responsabilité pour laquelle la technologie GMAO est bien équipée. En fournissant une vue d’ensemble continue et complète de chaque équipement du parc, qu’il s’agisse de l’analyse des générateurs ou des services de localisation, les analyses prédictives de la technologie GMAO conduisent à de meilleurs modèles d’entretien préventif, mais à la seconde près, comme si vous aviez un médecin avec vous à chaque étape du processus.

En plus d’augmenter la durée de vie utile des actifs en prévenant les dommages permanents, les propriétaires de parcs automobiles tirent plusieurs avantages importants de l’achat de technologies de GMAO, notamment les suivants :

Réduction des coûts d’entretien : Financer entièrement les services d’entretien en cas de besoin plutôt que selon un calendrier est rentable et augmente le retour sur investissement d’une entreprise.

Augmentation de la capacité de création : La GMAO fournit aux gestionnaires des mises à jour régulières sur l’état de santé des moteurs, ce qui leur permet d’élaborer une meilleure stratégie de maintenance et de rotation des équipements au sein du parc. Essentiellement, elle accroît la disponibilité d’équipements en état de marche et prêts à être déployés sur le site.

Un gain de temps sur les réparations et l’entretien : L’entretien et les réparations demandant du temps, le fait de savoir quand un service est nécessaire permet d’investir du temps dans des projets commerciaux plus importants.

Surveillance à distance 24/7 : La plupart des options de GMAO permettent de vérifier les équipements 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 à partir du téléphone de l’utilisateur ou d’un navigateur Web, ce qui accroît l’efficacité de la flotte en fournissant un résumé centralisé et un classement pour tous les véhicules.

Les professionnels du secteur connaissent bien les problèmes de chaîne d’approvisionnement et l’augmentation des dépenses de matériel résultant de la pandémie de COVID-19. Avec une forte demande de matières premières, les fournisseurs locaux n’ont pas pu répondre à la demande, ce qui a entraîné des retards de livraison et des reports de projets – ce qui peut entraîner des coûts supplémentaires lorsqu’il s’agit de payer des agents de développement sur une période prolongée.

Face à l’augmentation constante des coûts, les propriétaires de parcs automobiles doivent adopter des méthodes nouvelles et impressionnantes pour préserver la santé de leurs véhicules et de leurs équipements. La surveillance en fonction de l’état peut aider en réduisant la quantité de matériaux d’entretien et de restauration gaspillés pour des entretiens programmés inutiles et en préservant pour les utilisateurs d’équipements la situation financière nécessaire au bon fonctionnement de leurs flottes.

La mise en œuvre d’une approche prédictive n’aide pas seulement les opérateurs à terminer leurs tâches à temps, mais permet également aux administrateurs d’entreprise d’élever leurs procédures au niveau supérieur.

En tant que synonymes, la « surveillance prédictive de l’entretien » et la « surveillance de l’entretien basée sur l’état » permettent une augmentation rapide de l’application et de la gestion de la flotte. Des fonctions telles que la surveillance du moteur des équipements, l’exposition de la flotte en temps réel, les flux de travail des conducteurs et la confirmation sont autant d’éléments qui donnent aux entreprises un avantage concurrentiel sur leurs homologues. L’entretien prédictif conduit à des opérations prédictives – une position affirmée dans l’accomplissement des tâches plus rapidement que les entreprises sans avantage numérique.

En offrant aux propriétaires de parcs de véhicules une vue d’ensemble de l’état de leurs équipements dans une optique de prévention, la technologie du bâtiment n’a jamais été aussi prometteuse pour l’avenir. Avec les améliorations à venir impliquant l’intégration de la GMAO aux équipements électriques et aux véhicules autonomes, l’efficacité de l’investissement dans une solution de surveillance de la maintenance prédictive est étonnante. Minimisez les temps d’arrêt des équipements et les réparations inutiles et évitez de surpayer les composants et les éléments en aidant les avancées scientifiques récentes et futures dans les procédures de construction.